Lycée Oyada
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 Reira Hakiko

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Reira Hakiko

Reira Hakiko


Messages : 8
Date d'inscription : 20/07/2009
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MessageSujet: Reira Hakiko   Reira Hakiko EmptyVen 24 Juil - 12:46

Personnage


Nom
Hakiko

Prénom
Reira

Surnom
Rei

Age
18 ans

Sexe
Féminin

Orientation sexuelle
Hétéro

Famille
Je n'ai qu'une seule famille, mon clan, Les Hakioto sont tous mes frères et mes sœurs, et le chef Shijiro est mon père. J'avais une deuxième famille mais une balle en pleine tête l'a emporté au ciel, mon amour, Morai Kudo. Sinon, je n'ai pas de famille directe, de sang dirais-je. Mes parents sont morts lorsque je n'avais que 3 ans, et j'étais enfant unique. Donc en un terme logique je suis la seule de ma famille à encore être en vie.

Description mentale
C'est très difficile d'expliquer ma situation mentale actuel, il y a eu tellement d'évènement que de nouveaux traits de caractères ont fait surface et d'autre ont disparut à jamais emporter par le néant. Mais le plus présent aujourd'hui c'est la méfiance, je n'ai confiance en personne a part dans mon clan et en moi même, le danger est partout. Je peux paraître froide à cause de cette méfiance, mais au fond je suis très sociale et chaleureuse. Même si je fais la forte en gardant mon calme dans des situations critiques, j'ai sans cesse la peur au ventre, je suis même terrifiée. Sinon derrière ma carapace en fer, je suis une personne qui adore s'amuser et rire, vivre à fond chaque secondes qui s'écoulent. Je suis très vite gênée, d'ailleurs la timidité n'est pas un cadeau... Mais comme je le disais j'ai perdu une partie de moi, elle sait envolée avec Morai Kudo cette après midi là, l'amour, la passion, le bonheur, la chaleur... Ces sentiments ne sont plus miens à présent.

Description physique
Je n'ai pas les cheveux bleu au naturel mais bien noir, et ils étaient longs il y a 3 jours, j'ai changé de look pour la simple raison que je suis recherché et je n'allais tout de même pas facilité la tâche à mes poursuivants. Je suis grande et mince et côté formes je ne suis pas a plaindre. Sinon j'ai un visage tout à fait banal, je ni superbe ni laide, en clair je suis normale. Des yeux bruns, un nez, une bouche soit vous aurez compris. Mes tenues sont assez mélangées, je portes volontiers des robes, des jeans, des tuniques, ma vie dans la rue m'aura appris à être satisfaite de tout. Cependant je n'aime pas trop m'exhiber depuis l'histoire avec Sandrine Belgrade... Qu'elle peste!


Histoire

Bien sûr je connaissais ce labyrinthe comme ma poche malgré ma longue absence dans les sous terrains de Tokyo. Cependant, je n’étais plus habituée à cette odeur d’excréments, les arômes m’obligeaient même à m’arrêter de temps à autre pour vomir dans un coin le gâteau de Madame Kamirei. Ma robe en soie blanche devenait au fur et à mesure de ma course dans l’eau usagée noir, brune ou même jaune. Durant un cours arrêt pour rependre mon souffle, je me mis a regarder l’ampleur des dégâts sur ma robe, accrocs, trous, déchirures,… J’étais à présent une vraie guenille. Un bruit résonna dans les longs couloirs étroits des égouts, ainsi je repartis dans ma fuite.


L’orphelinat

J’ai passé toute mon enfance dans l’orphelinat Sainte Hélène en France, c’était un lieu immense au style légèrement baroque. L’école se trouvait dans l’enceinte du domaine de St Hélène, ainsi que les appartements des élèves, un géants réfectoire, un parc magnifique… Nous sortions très rarement étant donné que toutes les activités avaient lieues ici même. Je me souviens que mon dortoirs était le 43, c’était l’âge de ma mère quant elle est morte. Les lits y étaient parfaitement parallèles, devant chaque couches se tenait une armoire en chêne pour y mettre nos affaires personnels. J’ai toujours été très seule, d’ailleurs j’avais pour seule amie Alison Beckley, elle était grande pour son âge mais plate comme une planche de bois, je lui demandais souvent de me parler de sa natale Brooklyn, c’était si passionnant les géants buildings, … Elle m’avait même raconter que la ne dormait jamais. Alison est arrivée 6 ans après moi, sachant que j’était là depuis l’âge de 3 ans, contrairement à moi Alison avait toujours un de ses parents, son père Richard Beckley était militaire et ne savait pas s’occuper de sa fille donc l’avait envoyé à St Hélène jusqu’à ce qu’il puisse rentrer en Amérique et s’occuper à nouveau d‘elle. J’étais chez moi ici, mes seules souvenirs étaient encrées entre ces murs, de mes parents je ne savais ni leurs visages, ni le son de leurs voix, je ne savais rien du tout à leur sujet. C’est Lady Graham et m’a raconter comment ils sont morts, apparemment mes parents étaient des aventuriers et un jour une descente en rappel aurait mal tourner. Je les ai vu pour la première fois à noël 1998, leur ancien album photo m’avait été expédié du Japon, ils étaient très beaux mais malgré les photos sous mes yeux, ce n’étaient guerre que deux inconnus pour moi et le vide de mon cœur ne se comblait toujours pas. Lorsque je n’étais pas avec Alison, je me trouvais où dans la bibliothèque en train d’étudier, j’adorais lire surtout les livres d’amour qui finissait obligatoirement pat « ils vécurent heureux » Etc. Etc. Où dans le parc sous le plus grand marronnier, j’y chantonnais et je m’imaginais à la place de toutes ces héroïnes que je rencontrais dans mes bouquins. Mon problème à toujours été là, je m’enfermais dans un bulle en titane, dans un monde surréaliste et je refoulais cette dépendance au faux-bonheur. Un matin, alors que je m’apprêtais à aller faire ma toilette, je tomba nez à nez avec Sandrine Belgrade, elle avait de magnifique cheveux blond et un visage angélique mais derrière ce n’était qu’une petite peste. Mais cette matinée là elle était agréablement gentille, ou devrais-je dire étrangement gentille. Je pris la peine de laisser mes affaires sur le banc avant d’entrer dans la douche, et à ma sortie ils n ’étaient plus là. Vêtue seulement de ma serviette je m’aventurais vers ma chambre, le couloir était très calme heureusement pour moi, soudain quelqu’un me poussa dans une pièce et tira sur mon essuie, j’étais donc nue comme un verre. Lorsque mes yeux se levèrent un groupe de garçons et de filles rigolaient à ne plus avoir de souffle. Une blague de mauvais gout que j’ai payé 1 moi à pleurer dans ma chambre. C’est peu après qu’ils sont venu me chercher…


Les Beauchamp

La secrétaire de Madame Graham était venue me chercher dans les environs de 13h30 en classe de Biologie pour m’emmener à son bureau. Là m’y attendais un jeune couple souriant et étonnamment chaleureux. La jeune dame était merveilleusement belle comme une actrice, grande et mince avec une chevelure brune à tomber par terre et son mari n’était pas à plaindre, du haut de ses 1 mètre 90 et avec une superbe allure. Ils m’invitèrent à m’assoir à leurs côtés, Madame Graham fit son entrer dans la minutes et pris place de l’autre côté du bureau. On m’expliqua alors que Monsieur et Madame Beauchamp étaient venus pour demander mon adoption, ces jeunes amoureux n’arrivaient pas à avoir d’enfants étant donner que la jeune femme était stérile. Bien sûr tout n’allait pas se faire en un jour, les procédures pourraient prendre 2 semaine voir 1 mois. Après une longue discussion on me renvoya dans mon dortoir, j’étais à la fois excitée et terrorisée par cette nouvelle, d’un côté j’aurais pu enfin avoir une famille et les Beauchamp étaient le couple parfait mais de l’autre ma vie allait totalement et irrévocablement basculer. Peu après, ils étaient revenu me voir, j’allais me promener avec eux dans le domaine en parlant de tout et de rien. Une fois ils ont même demander l’autorisation de m’emmener au restartant pour plus d’intimité, apparemment leurs visites avaient pour but de faire de mieux en mieux connaissance. Plus les jours passaient et plus je m’attachaient, ils étaient si charmants, arriva le jour de leur dernière visite et contrairement au autre ce jour là je suis repartie avec eux pour ne plus revenir à St Hélène. Ils m’emmenèrent à bord de leur Chevrolet 1995, ce voyage allait rester à jamais dans mon cœur à jamais, les sentiments que je ressentaient à ce moment là étaient si différents, à la fois peur, bonheur, tristesse, joie, inquiétude,… Il suffisait que je regarde Elisabeth, ma nouvelle mère, pour être apaisée. Notre habitation était le nid douillet le plus beau que j’ai jamais vu, une petite maison blanche à deux étages, la décorations étaient moderne mais aussi familiale, ma chambre se trouvait en haut des escaliers à droite, sur la porte blanche il y était mis mon prénom en lettre de bois peints « Reira ». Ma nouvelle vie était magique, je faisais de tout avec mes parents adoptifs, cependant un jour je commençais à m’inquiéter. Charles, mon père, avait toujours des manières en vers moi qui me gênait, même du haut de mes 12 ans. Lorsque nous étions seules il me caressait, il me faisait des remarques sur mon corps qui commençaient à ressembler à celui d’une femme,… Au début je me disais que c’était le rôle d’un père d’agir de cette façon en vers sa fille mais c’était de pire en pire. Un week-end Elisabeth était partie en réunion à Paris, je passais donc la nuit seule avec mon père. Ce dernier est venu en pleine nuit dans ma chambre et ma réveillé, il m’a demander de l’accompagner dans sa chambre car il se sentait seule sans ma mère, en petite fille sage je l’ai suivis sans m’imaginer ce qui m’y attendais. Je me souviens de ses paroles exacte:

« Viens près de moi ma chérie, avant enlève ta chemise de nuit il fait trop chaud ici, d’ailleurs je vais faire de même avec mon pyjama. Couche toi sur le lit que je te regarde, tu es si mignonne tu sais ma chérie? Laisse moi toucher ta peau pour voir si tu n’a rien, tu es si douce… »

Il me touchait, me caressait, m’embrassait, c’était si embarrassant que j’en avait les larmes au yeux. Par la suite, à chaque fois que nous étions seules il demandait à nouveau que je me déshabille, il allait de plus en plus loin jusqu’au jour ou il me demanda de le toucher à mon. Si je disais non, il frappait et après me serrait contre lui en s’excusant. Il me disait que c’ était ma faute si il faisait ça, que j’était un démon qui l’obligeait à péché. Je ne pouvais rien dire à ma mère, car sinon il me tuerait et ferait de même avec elle, c’est ce qu’il me disait. J’avais 14 ans lorsqu’il essaya pour la première fois de me violée, au moment ou il voulut entrer en moi je l’ai assommé avec la lampe de chevet. Et c’est cette même soirée que je me suis enfuie…


Le clan Hakioto

Cette nuit là le vent était froid et même la Lune avait du mal à se faire voir à travers les nuages épais. Le brouillard m’empêchait de m’orienter convenablement dans Marseille, cela faisait bientôt 4 ans que je vivais dans cette ville, je n’étais toujours pas habituée à son climat et sa géographie, les journées sont superbes mais les nuits sont tellement humide et froide. Je marchais donc sans trop savoir où aller, c’est seulement après 1 heure de marche que je me suis décidée à m’arrêter et attendre l’aube. J’avais de la chance que le soleil se levait dans les environs de 5 heures, à présent tout était claire sur ma route. C’est alors que je m’étais retrouver face à l’océan à ma droite le port, un géant bateau de cargaisons y était accosté, il était noté sur la coque en grandes lettres italiques « Tokyo ». Ma ville natale, pendant deux minutes je m’imaginais rentrer à bord et m’enfuir au Japon mais c’était vraiment ridicule et surtout trop dangereux. J’avais une faim de loup, il me restait dans les environs de 4 euro dans la poche de mon jean. Il y avait un restaurant de sandwich a emporter non loin sur la digue, je ne savais pas trop quoi prendre, mais alors que je regardais l’affiche avec les saveurs mes yeux n’ont fait qu’un tour en voyant une annonce avec ma photo en grand et sous titré « Disparue ». Donc les Beauchamp voulaient me retrouver, mais rien que l’idée de revoir Charles me donnais envie de vomir. Je n’avais donc plu le choix, le seule moyen était de quitter la France, seulement je n’avais ni passeport ni argent donc je m’étais glissée dans le bateau en clandestine…
Le voyage avait été très long et je venais d’apprendre que j’avais le mal de mer, super. Y entrer avait été plutôt simple, je m’étais glissée dans une caisse vide mais en ressortir c’était assez corser. Petite enfant que j’étais, j’ai décider que la fuite au pas de course était la meilleur solution. Je m’étais donc retrouver avec 10 hommes à ma poursuite dans Tokyo, c’est là que je l’es ai rencontrer. Alors que je courais dans les ruelles, quelqu’un m’attrapa le bras et m’emmena avec lui dans une poubelle, dégoutant mais efficace. Celui qui m’étais venu en aide s’appelait en faite Luna Hakioto, une petite fillette maigrelette, elle avait des cheveux noirs intenses et ses vêtements laissaient a désirés. Après être restés une bonne trentaine de minutes dans les ordures, la demoiselle décida qu’il était temps de sortir et qu’il n’y avait plus de danger. Une rafale de questions s’était abattu sur moi, qui es tu? Quel âge as-tu? De quel clan fais tu partie? Tu viens d’où? … Et moi j’étais bouche bée face à cette interrogatoire, je ne comprenais pas un mots de ce qu’elle me disait, elle parlais Japonais. C’était avec des gestes que je m’étais amusé à lui raconter ma fuite de France dans le paquebot. Sans que je saches pourquoi, elle m’avait pris la main et m’avait emmenée avec elle dans les égouts. Notre aventure c’était arrêter devant Shojiro Hakioto le chef du clan, il parlait parfaitement Français, Japonais et Anglais, c’était ainsi qu’il m’expliqua l’histoire des clans des sous terrains, et après discussion il avait accepter que je l’es rejoignes. J’étais devenue Reira Hakioto car le clan c’était comme une famille, tout le monde avait le même nom. Avec le temps Shojiro m’avait appris a parler Japonais, c’était pas facile tout les jours, pour nous nourrir ont devais voler, ont devais fuir sans cesse la police, en plus les clans étaient en guerre. Ma nouvelle famille que convenait à merveille, cependant une après midi je suis tombé sur lui …
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Reira Hakiko

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MessageSujet: Re: Reira Hakiko   Reira Hakiko EmptyVen 24 Juil - 12:51

L’amour

Le chef m’avait envoyé voler dans une petite librairie, comme chaque fois je me retrouvais avec des flics aux fesses. Mais durant ma course, à un angle de rue, j’avais fait volte face avec un jeune homme. Il était tombé sur moi, lorsque j’avais ouvert les yeux, il était si proche que je pouvais sentir son souffle contre ma peau, durant quelques secondes son regard c’était noyé dans le mien. La réalité nous avait vite rattrapée et tout en m’excusant je m’étais relevée et j’étais repartie vers mon clan. Le sentiment que je ressentais ne m’était pas du tout familier, l’image de son beau visage me revenais sans cesse dans la tête et je passais des soirée entière a repenser à lui. Une soirée je me promenais avec la bande des 12/18, c’était son nom car elle réunissait tous les jeunes Hakioto entre ces deux tranches d’âge. Notre jeux préférer était de se lancer des paris, donc chacun notre tour ont y passaient. C’est alors qu’une superbe maison se dressait devant nous, et le plus âgée de la bande décida de me lancer le défis d’entrer dans la demeure et de ressortir avec un objet précieux. Cela aurait pu être impossible s’il n’avait pas remarqué que la fenêtre du premier était ouverte. J’étais très souple, donc c’est avec facilitée que j’avais escaladé la corniche pour atteindre l’étage et entrer à l’intérieur. Le calme et la noirceur laissaient penser que les propriétaires dormaient, j’avais atterri dans un bureau, les tableaux étaient magnifiques, mais je n’avais pas le temps de m’attarder trop tardivement donc je commençais a chercher l’objet précieux en question. Celui-ci avait apparut comme par magie sur la table en verre, une bague en or avec des rubis rouges et blancs. Je l’avais saisi entre mes petites mains lorsqu’un un bruit retentit derrière ma tête. Quelqu’un pointait une arme vers moi et il m’obligea à me retourner pour lui faire face. A ma plus grande surprise c’était lui, l’homme que j’avais vu dans l’angle de Tochomae et Ishigu, dès qu’il m’avait reconnu il baissa son arme. Nous étions restés un long moment dans le silence, une voix dehors m’appelait et après lui avoir adresser un dernier sourire j’étais sauté par la fenêtre.
Les jours qui suivirent j’étais sans cesse chez lui le soir, il m’attendait à sa fenêtre, ont parlais de tous, de lui de moi… Un soir, j’étais à ses côtés dans le bureau comme à notre habitude, il s’était emparé de ma main et m’avait attiré à ses lèvres, mon premier baisé avait été le plus merveilleux. Je commençais alors à passer mes nuits chez lui mais jamais il n’avait essayé de pausé ses mains sur moi. Il disait que le jour de mes 18 ans ont se marieraient et que se jour là nous ferions l’amour. Je n’avais que 16 ans et lui déjà 21 ans. C’est ainsi que j’avais quitter le clan pour emménagé avec Morai Kudo, le chef m’avait donné sa bénédiction pour une vie meilleur que celle de la rue. Evidemment je revoyais souvent ma famille, ils venaient me voir dans ma nouvelle maison et Morai les accueillaient à chaque fois les bras ouverts. Je vivais les plus beaux jours de ma vie et mes 18 ans était arrivé très vite, comme il l’avait dit, il demanda ma main ce jour là et j’avais répondu oui. Le mois qui suivit était un rêve éveillé pour moi, les allées venues des organisateurs, couturiers, cuisiniers… Madame Kamirei s’occupait de mon gâteau de mariage, elle était d’ailleurs très doué. Ma robe était en soie blanche, le devant s’arrêtait à mes chevilles mais la longue traine atteignait facilement 2 mètres sur le sol. Le jour J était arrivé, une fois fin prête, je descendais avec classes les escaliers de m’arbres blancs, ma famille m’attendais en bas, Morai avait pris la peine de leurs fournir des tenues adéquats et j’avoue qu’ils étaient tous très beaux. Le clan Hakioto au complet et Shojiro me fit l’honneur de m’accompagné jusqu’à l’hôtel. Là mis attendait le plus beaux des hommes, le plus parfait, mon idéal pour la vie. Morai n’avait pas de famille, ses seules invités étaient des collègues ou des amis. Le curé commençait a faire le serment, mon amant bientôt mari enveloppait sa main chaude et réconfortante autour de la mienne. Soudain le plus beau jour de ma vie, devint le pire…


Le lycée Oyada

Alors que j’allais dire oui pour être liée à vie avec Morai, une dizaine d’homme avaient fait leur entrée dans le jardin. Il fallut 2 seconde à Morai pour commencé à courir avec moi, comme si il l’es avait reconnu. Mon clan qui était toujours armés et bien plus nombreux que les nouveaux arrivants, entrèrent dans une guerre pour nous laisser le temps de fuir. Je ne savais pas ou nous fuyions et Morai refusait de répondre à mes questions, il disait juste court Reira et ne t’arrête pas ! Mais têtue comme j’étais, après de longues minutes je m’étais arrêté net dans une ruelle. Je n’avais plus de souffle et en talon c’était périlleux de s’enfuir. Morai ne voulait rien savoir, il fallait encore courir, mais tant qu’il ne m’aurait pas expliquer, je refusais de bougé. C’est alors que le récit commença, il me racontait que sa famille faisait partie de la mafia Japonaise et que à la mort de son père il avait hérité de tout son argent mais aussi de son statut au placé, cependant il l’avait refuser car ce n’était pas une vie. Mais certains hommes ont pris cela comme une insulte et le pourchasse depuis, ils voulaient le tué pour reprendre l’argent de la famille Kudo et en faire bonne usage comme ils disaient. Cependant, ils n’avaient pas calculer ma venue et notre mariage donc ils devaient à tout pris le tué avant qu’on se dise oui. Morai n’eut pas le temps de terminé qu’un homme avait surgit derrière nous et avait appuyé sur la détente, dans ma direction. C’est alors que tout c’était passé très vite, Morai c’était mis en face de moi et la balle avait atterrit en plein dans sa tête. Ils m’en voulaient aussi, ils voulaient ma peau car ils savaient que Morai m’auraient tout laisser. C’est là que ne pleure, je m’étais enfuie par les égouts.

Je m’étais arrêté seulement une minutes, qu’ils m’avaient déjà rattrapés, à part recommencer à courir je ne voyais aucune solution. Je savais exactement ou j’allais, gauche, droite, droite, gauche, c’était un vrai cauchemar pour ceux qui ne connaissait pas cette endroit. Après avoir été que je l’es avait semé, je pris le risque de remonter à la surface. Il fallait à présent que je me cache et surtout que je sois très discrète. Heureusement, je gardais toujours sur moi de l’argent, c’était Morai qui m’avait appris à faire cela, mettre des billets dans les sous vêtements. Il disait assez pour survivre si nous entrons en guerre, après réflexion, Morai m’avait toujours préparer à ce genre d’évènement comme ci il s’y attendait. Après avoir été prendre un bon bain aux bains publics et avoir acheté une nouvelle tenue, je cherchais à entrer en contact avec mon ancien clan.
Ils m’avaient aider à changer de nom et a avoir de nouveau papier, aujourd’hui j’étais Reira Hakiko. Comme je l’avais pressentit, j’avais tout hérité de mon chère et tendre Morai, rien que lorsque je pensais à lui, un flot de larmes débarquait et mon souffle se coupait. Il fallait que je me cache et l’argent allait m’aidé, après un relooking de professionnels, je cherchais l’endroit idéal. C’est alors que je repensais à ce que Luna m’avait dit une fois:

« Reira, j’ai entendu parlé d’un lycée peu commun. Des rumeurs racontent que les élèves prennent les relations sexuelles très à cœur là bas. Le lycée Oyada. »

C’était le lieu parfait, qui viendrait chercher une jeune fille de 18 ans dans ce genre d’endroit? Surtout si cette dernière vient de perdre son amant… Donc il me fallut que deux jours pour m’y rendre, maintenant il fallait espéré que je sois tranquille ici. Avec de la chance après 1 ans ici l’affaire sera tassé et je pourrais refaire ma vie.

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  • Votre surnom?
  • Lily
  • Comment avez-vous connus le forum?
  • Par Victorio Valentine
  • Sur 10 combien vous donnerez vous en rp?
  • 7/10
  • Taux de participation /10?
  • 7/10
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Victorio Valentine
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Victorio Valentine


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MessageSujet: Re: Reira Hakiko   Reira Hakiko EmptyVen 24 Juil - 12:53

Bienvenue.

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